KÜCHE .
la cuisine , la popote manger dans le semi-confort ou à la dure , se nourrir une chose que tous les êtres sur la terre ne peuvent pas faire sans , des fourneaux de casernement , à la roulante , du porteur de gamelles qui parcourt les tranchées avec une nourriture plus ou moins chaude , manger est une chose qui réconforte les hommes en plus d'échange de nouvelles , parfois un simple quart d' une boisson et un morceau de pain , sont les bienvenu après une longue attente de celui-ci , bien sur il y as les débrouillards , pilleurs de fermes , les autres , aux premières loges pour pouvoir faire la cuisine des hommes , la tambouille , la bectance , la bouffe des noms qui ont le même son dans la bouche des hommes sur tout les fronts ;
1914 , dans le défilé des rues de BERLIN , les cuisines hippomobiles sont fleuries comme tout les autres matériels pour le départ en guerre ;dans le premier pays conquis , les produits de la terre font le bonheur des hommes ;
1914 , boulangerie de campagne prés de YPRES ;durant la progression du début de guerre les roulantes sont présentes ,,, mais avec le temps elles vont êtres plus rares dans des régions ;1914 , BRUGGE , voit ouvrir des centres de ravitaillement pour les troupes ;1915 , les cuisines hippomobiles arrivent dans les villes donnant une animation pour les enfants , le manque de bonne choses commence ;1915 , le centre des fermes flamandes deviennent des grandes tables pour les garnisons de passages ;contrairement as de mauvaise information de propagande , le partage de la nourriture avec les enfants du secteur était une chose courante , eux même était aussi père ou frère ;tout les lieux conquit sont après être sécurisé dispose d'une cuisine de campagne ;
au détriment des éleveurs , les bêtes vont parties des prises pour nourrirent les soldats ;le cochon est le plus sollicité avec les volailles ;en 1917 , dans la SOMME , une scène identique ;le gain de temps pour les cuisiniers , c'est de tuer le porc dans le cantonnement ;le secteur des VOSGES lui apporte une viande qui viens directement de la nature , les sangliers ;souvent le ventre n'as pas d'oreilles , le ravitaillement ne suit pas , alors un cheval ( meilleur ami de l'homme ) vas être au menu ;les magazins des fourniture alimentaires de l'arrière sont très bien garnis durant les premières années du conflit ;des granges font office de cuisine non loin d'un lazarette ;beaucoup plus tranquille dans la corvée de cuisine , les attachés dans une caserne ;avec les voies de 60 , il est un peu plus facile de faire parvenir les repas au plus près des lignes ;prendre son repas , pour les hommes dans les tranchées , c'est à leurs postes , comme les mitrailleurs ;d 'autre profite d'un marche pied d'une tranchée profonde pour en faire une table ;mais aussi dans le froid et l'humidité d'un abri semi-couvert d'une tranchée ;l'important de dans les abris c'est un effet de confort , avec des ustensiles pris dans les habitations des civils ;dans les caves des maisons en zone occupées , les cuisines sont plus à l'abri du climat et plus sûr ;même sans le confort , le repas reste un moment de convivialité ;les terribles attaques des gaz , pourtant il faut faire parvenir des victuailles aux compagnons de tranchées ;cette besogne est parfois bonne enfant dans des secteurs calmes , notre soldat semble heureux , son compagnon d'infortune aussi ; 1917 . BULLECOURT , de corvée du ravitaillement l 'un porte gamelles et norvégienne pour des repas presque chauds , son collège avec ses sacs de toiles porte les miches de pain ;pas de meilleur endroit pour une cuisine , dans de nombreux souterrain il y as un quartier pour cet usage ;dans un milieu couvert une cuisine de campagne , avec un camouflage pour plus de sécurité ;surement le plus répandu des moyens pour livrer de la nourriture aux hommes dans des secteurs sous le feu ;1917 , les convois ferroviaires sont pris d'assaut par les hommes car le manque de vives et boissons commence à manquer dans des secteurs ;les points d'eau , dans des secteurs ils sont très recherchés , l'eau pour les repas , la cuisine mais aussi pour l ' hygiène , se laver et aussi les lessives ;pour les petits extra , des roulottes hippomobiles parcourt des villes et villages afin de subvenir aux hommes en repos ;plus loin dans un autre lieu de combat , des oursons sont tués , non pas pour les hommes mais pour la nourriture des chiens de patrouilleurs ;un front où les roulantes sont d'un besoin vital , l' EST , avec le froid et la neige la moindre source de chaleur est d'un immense réconfort ;de la cuisine à la cantine seul le nom change ;
a suivre